La Jungle
La jungle est un style musical antérieur à la drum and bass.
Pour certains, il y a une réelle différence sonore : on peut caractériser la « jungle » (anciennement appelée « jungle techno ») par un travail rythmique complexe et un synthé assez pauvre alors que la drum and bass a une structure rythmique beaucoup plus simple (appelé 2-Step) mais un travail sur les synthétiseurs beaucoup plus poussé. Enfin, le terme « jungle » est parfois utilisé comme raccourci pour désigner le ragga jungle.
Malgré une dénomination exotique, la jungle n’est pas née dans la chaleur d’une forêt tropicale mais bien dans les caves sombres des clubs anglais. Le mot jungle signifie dès lors urban Jungle (jungle urbaine) pour décrire le quotidien difficile des jeunes dans une société anglaise culturellement verrouillée. La jungle tire son origine des raves anglaises. Elle apparaît au début des années 1990. Certains ont eu l'idée de superposer des breakbeats accélérés sur la rythmique classique techno. Puis le kick a été progressivement retiré et les breakbeats ont été de plus en plus travaillés, redecoupés, réassemblés, etc. La jungle se nourrit aussi de l'influence de la communauté jamaïquaine anglaise et se met donc vite à intégrer des éléments de hip-hop, ragga, dub. Ces éléments se retrouvent aussi bien dans les sons que dans la pratique du deejaying avec par exemple le rewind. La jungle intègre des voix, souvent planantes et féminines ou ragga, venant contraster avec la rudesse et la rapidité des rythmiques. L’esprit général s’inspire souvent du dub avec de fréquentes interventions de toasters et des effets caractéristiques sur les sons de basse. Deux albums sont ainsi considérés comme exceptionnels en la matière : Timeless, de Goldie en 1995 et New Forms de Roni Size en 1996. Ces deux artistes sont les pionniers de la jungle, au même titre que A Guy Called Gerald, 4 Hero ou les membres du label Metalheadz de Goldie (Optical, Ed Rush, Dilinja, Photek...).
Source : Wikipedia
Pour certains, il y a une réelle différence sonore : on peut caractériser la « jungle » (anciennement appelée « jungle techno ») par un travail rythmique complexe et un synthé assez pauvre alors que la drum and bass a une structure rythmique beaucoup plus simple (appelé 2-Step) mais un travail sur les synthétiseurs beaucoup plus poussé. Enfin, le terme « jungle » est parfois utilisé comme raccourci pour désigner le ragga jungle.
Malgré une dénomination exotique, la jungle n’est pas née dans la chaleur d’une forêt tropicale mais bien dans les caves sombres des clubs anglais. Le mot jungle signifie dès lors urban Jungle (jungle urbaine) pour décrire le quotidien difficile des jeunes dans une société anglaise culturellement verrouillée. La jungle tire son origine des raves anglaises. Elle apparaît au début des années 1990. Certains ont eu l'idée de superposer des breakbeats accélérés sur la rythmique classique techno. Puis le kick a été progressivement retiré et les breakbeats ont été de plus en plus travaillés, redecoupés, réassemblés, etc. La jungle se nourrit aussi de l'influence de la communauté jamaïquaine anglaise et se met donc vite à intégrer des éléments de hip-hop, ragga, dub. Ces éléments se retrouvent aussi bien dans les sons que dans la pratique du deejaying avec par exemple le rewind. La jungle intègre des voix, souvent planantes et féminines ou ragga, venant contraster avec la rudesse et la rapidité des rythmiques. L’esprit général s’inspire souvent du dub avec de fréquentes interventions de toasters et des effets caractéristiques sur les sons de basse. Deux albums sont ainsi considérés comme exceptionnels en la matière : Timeless, de Goldie en 1995 et New Forms de Roni Size en 1996. Ces deux artistes sont les pionniers de la jungle, au même titre que A Guy Called Gerald, 4 Hero ou les membres du label Metalheadz de Goldie (Optical, Ed Rush, Dilinja, Photek...).
Source : Wikipedia
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